Te Promènes Donc Pas La Braguette Ouverte Chapitre Six :
Le soir même je tentais de téléphoner à M-H mais en vain, Monsieur devait être sorti faire une course et le problème c'est que je ne pouvais pas l'appeler de chez mes parents. Alors je devrais me contenter de le joindre le jour d'après mais la fougue serait retombée et je doutais que je raconterais aussi bien.
Le lendemain j'essayais encore plusieurs fois mais sans plus de succès. Grande était ma déception et pour me consoler je me rendais aux pissotières des allées de Meillan voir ce magnifique alignement de sexes les uns à coté des autres, certains pissant d'autres se faisant secouer et un ou deux durci et raides sous les doigts fébriles de leurs propriétaires. Cela émoussait toujours autant mon esprit mais il fallait que je retourne chez mon patron car je tardais un peu et son épouse, une virago sans égale tenait l'officine ce jour là.
Le soir en sortant de la pharmacie je plongeais dans la première cabine téléphonique et je composais fébrilement le N° de M-H.
« Allô oui ? (c'était lui)
- je te dérange ? C'est Félix.
- si un peu j'allais partir mais rien d'urgent, viens cinq minutes, je croyais qu'on devait se voir demain soir,,,
- oui mais il faut absolument que je te raconte...
- bon mais dépêches toi » et il raccrocha.
Je courais à perdre haleine et quand il m'ouvrit la porte, j'étais rouge comme un coquelicot et je l'assaillais de paroles sans même me rendre compte qu'un homme était assis sur le canapé rouge « Stop ! Me dit-il, arrêtant net ma logorrhée. Je vais te présenter mon meilleur ami :
Antoine voici Félix le jeune homme dont je t'ai souvent parlé et qui retarde un peu notre départ, dit-il avec un sourire entendu. Je saluais cet homme qui ne devais pas avoir plus de quarante ans et dont la finesse et la distinction mimpressionnèrent. Il n'était pas particulièrement beau mais son charme et sa prestance me subjuguaient, j'étais sans voix devant son costume qui moulait à merveille des attributs de taille .
- bonjour Félix, Marc-Henri était en dessous de la vérité quand il m'as parlé de toi. (Que devais-je comprendre ?..)
- Heu merci, dis-je bêtement.
- Bon maintenant raconte nous ce qu'il t'arrive, soit tranquille, Antoine est au courant de tout. (cela me gênait un peu) »
Masseyant sur un fauteuil je racontais ma soirée de la veille dans le détail et mon auditoire semblait captivé. Tant et si bien que le temps passa et que nos deux amis se trouvaient en retard.
« dépêchons nous, il ne nous reste que peu de temps avant le lever de rideau, pardonnes-nous Félix mais il faut que nous partions, on se voit demain soir. » Et refermant la porte derrière nous M-H et son ami filèrent en me laissant là dans la rue avec mes questions sans réponses et que quelques commentaires énigmatiques. La nuit ainsi que la journée qui allaient suivre seraient longues jusqu'au lendemain soir.
Sous prétexte d'inventaire je prévenais ma mère que je dormirais sur place car cela serait plus pratique et convivial, mon patron avait souvent mis à disposition de ses employés le petit studio qui appartenait à l'officine, les soirs d'inventaire.
Mon travail terminé je me dirigeais vers l'appartement de M-H, la tête perdue dans mes fantasmes avec à l'esprit la clause du contrat qui nous « liait ». Mais je n'arrivais pas à détacher de mes pensées l'image de cet homme énigmatique et charmeur que j'avais rencontré chez Marc... Et surtout la promesse d'un entre-jambes sans mystère. Bon il fallait revenir à ma réalité et occupé par toutes ces réflexions mon chemin fut très court.
Je sonnais à la porte de Marc... Mais quelle ne fut pas ma surprise quand celle ci s'ouvrit ?
Antoine !
Antoine en personne venait m'accueillir ; je ne comprenais pas trop, cela devait être une soirée en tête à tête avec mon ami !..
« Je te surprend n'est-ce pas ? Mais après tout c'est de ta faute ; hier au soir tu es venu nous raconter tes aventures et Marc.
Ne soit pas inquiet, ce n'est pas un coup tordu, bien au contraire, nous te laissons maître du jeu, si tu veux recevoir...
- Oui je sais, il faut savoir donner. Je suis plus tôt heureux que vous soyez venu Antoine, dis-je avec le sourire timide.
- Bon entre et installes toi, je vais aider Marc.. à préparer l'apéro, et au fait, tutoie moi, c'est plus adapté et plus relax. »
Je me mettais à l'aise en attendant les deux amis.
Une chose me chagrinait ; c'était que je n'avais pas eu le temps de prendre une douche avant de venir, question d'hygiène et de respect pour les autres .
Lorsque M-H vint me dire bonsoir je lui confiais mon petit problème. Il mentraîna vers la salle d'eau et me donnant une serviette propre avec un peignoir, il me tendit une poire à lavement en me demandant de renouveler l'opération au moins trois fois, et ce avec le plus grand des naturels, m'assurant qu'avec Antoine ils n'avaient pas manqué de procéder à ce genre de toilette !..
Je me sentais tout « drôle » mais cela faisait partie de mon apprentissage et la logique confirmait cette pratique. Avec une certaine maladresse,lors de la première « poire » je procédais à ces ablutions et tant bien que mal je sortais de la salle d'eau propre de partout, enveloppé dans une sortie de bain un peu ajustée mais qui, lorsque je décroisais mes jambes, laissait apparaître mon anatomie.
Le canapé rouge ne nous aurait pas permis d'être quatre assis ensemble mais il offrait au moins l'avantage d'une intimité involontaire et pourtant si agréable. La chaleur des corps, les jambes poilues qui se frôlent, tout cela était électrique...
Les deux hommes avaient préparé de multiples tartines et du ?..........Punch...
Charmante attention de la part de M-H.
De surcroît chacun d'entre nous était vêtu d'un peignoir identique aux autres.
J'en fis la remarque amusée.
L'alcool aidant, nos caresses devinrent plus invasives mais avec l'intention de donner du plaisir autant que d'en recevoir et les vêtements finirent rapidement sur le parquet.
Antoine avait un sexe long avec un gland bien lisse et épais que j'avais plaisir à sucer tant il mouillait délicieusement, ses couilles étaient grosses et bien dures, toutes plissées et douces au toucher.
Nous nous retrouvâmes sur le sol allongés sur le coté et en triangle, pris par une besogne de fellations réciproques. Vu d'en haut ce devait être terriblement bandant, ces bites ces bouches humides et chaudes qu'on pouvait imaginer bien mouillées de pré-cum.
Ce n'était qu'un début...
La douceur et la tendresse qui unissait notre trio était encore une leçon pour moi car cela rendait notre plaisir plus riche, à la limite grandiose. Aucun d'entre nous ne se sentait soumis, aucun ne dominait l'autre, tout était consenti et c'était un peu comme si nous exécutions une chorégraphie ou chacun trouvait naturellement sa place avec plaisir.
Et la joie intense de se masturber, se caresser et se lécher l'anus ; oui ce plaisir faisait monter l'envie de s'enculer sans vergogne.
Je désirais recevoir Antoine en moi mais je désirais aussi Marc.. Tous les deux ensemble.
Tant et si bien que je connus à nouveau la douleur du plaisir d'une merveilleuse double sodomie dure et tendre à la fois, qu'ils m'offrirent avec douceur et dont ils jouirent en même temps dans mon rectum leurs jus coulant sur mes fesses.
Antoine me léchait les cuisses et le sperme goulûment en remontant sur ma rondelle.
Chacun de nous pu partager la double sodomie et ce fut chaque fois différent et merveilleux, chaud, humide et sirupeux ; que du bonheur !..
La soirée se prolongea tard et nous nous écroulâmes ensemble dans le grand lit de Marc sans passer par la salle d'eau, encore tout humides et collants de semence. Moi dans les bras de Marc-Henri et Antoine la verge chaude contre mes fesses et ses mains sur mon pubis.
Soirée inoubliable ; d'ailleurs je n'ai jamais oublié Bien que je connus d'autres étreintes, d'autres moments...
Je vous en parlerai bientôt. Il se fait tard et toutes ces émotions me rendent nostalgique .
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